Série « Mappemonde » - Mon travail est une exploration onirique de la relation entre le corps humain et son rapport à l’espace, qu’il soit confiné ou étendu. Où pose-t-on ses propres frontières, ses propres limites? En interrogeant la relation du territoire au corps j’ai la sensation de poser naturellement la question qui m’obsède: D’où viens-tu? Je n’obtiens pas de réponses mais d’autres questions : mon lieu de naissance? le lieu dans lequel j’ai passé le plus de temps? La ville de mes parents? Chacun ressent ses racines de manière singulière, et la question de l’appropriation de son histoire me fascine par sa complexité.
Jeune photographe sortie de l’école de photographie Bloo en 2016, Anouck Everaere est une artiste contemporaine à l’inspiration issue du courant du nouveau documentaire. Après une formation pluridisciplinaire aux Beaux-arts de Montpellier, elle découvrit les procédés anciens de la photographie par le biais de Dominique Sudre à l’atelier Magenta à Lyon. Poursuivant son apprentissage chez Gilles Verneret à l’école Bloo à Lyon, elle y décroche un Bachelor en photographie en 2016. Aujourd’hui passionnée de photographie argentique, elle travaille au moyen format « Mamiya 645 » couleur. Elle est inspirée par des artistes plasticiens comme Ed Rusha, Bruce Nauman, Bill Viola ou encore des photographes comme Harry Gruyaert ou Gregory Crewdson. La question du territoire et des origines, particulièrement la manière d’habiter un territoire qui nous est familier ou totalement étranger est une trame qu’elle développe au travers de tous ses projets de manière frontale ou détournée. Après deux expositions personnelles, « Les yeux pour voir », projet sur les maladies psychiques, et « La permanence des passants », projet sur l’expérience de la solitude, Anouck Everaere questionne aujourd’hui la représentation de soi au travers d'une série sur les masques fabriqués à partir de cartes géographiques.
Série « Mappemonde » - Mon travail est une exploration onirique de la relation entre le corps humain et son rapport à l’espace, qu’il soit confiné ou étendu. Où pose-t-on ses propres frontières, ses propres limites? En interrogeant la relation du territoire au corps j’ai la sensation de poser naturellement la question qui m’obsède: D’où viens-tu? Je n’obtiens pas de réponses mais d’autres questions : mon lieu de naissance? le lieu dans lequel j’ai passé le plus de temps? La ville de mes parents? Chacun ressent ses racines de manière singulière, et la question de l’appropriation de son histoire me fascine par sa complexité.
Jeune photographe sortie de l’école de photographie Bloo en 2016, Anouck Everaere est une artiste contemporaine à l’inspiration issue du courant du nouveau documentaire. Après une formation pluridisciplinaire aux Beaux-arts de Montpellier, elle découvrit les procédés anciens de la photographie par le biais de Dominique Sudre à l’atelier Magenta à Lyon. Poursuivant son apprentissage chez Gilles Verneret à l’école Bloo à Lyon, elle y décroche un Bachelor en photographie en 2016. Aujourd’hui passionnée de photographie argentique, elle travaille au moyen format « Mamiya 645 » couleur. Elle est inspirée par des artistes plasticiens comme Ed Rusha, Bruce Nauman, Bill Viola ou encore des photographes comme Harry Gruyaert ou Gregory Crewdson. La question du territoire et des origines, particulièrement la manière d’habiter un territoire qui nous est familier ou totalement étranger est une trame qu’elle développe au travers de tous ses projets de manière frontale ou détournée. Après deux expositions personnelles, « Les yeux pour voir », projet sur les maladies psychiques, et « La permanence des passants », projet sur l’expérience de la solitude, Anouck Everaere questionne aujourd’hui la représentation de soi au travers d'une série sur les masques fabriqués à partir de cartes géographiques.