Cette série a été élaborée en août 2015 quand j’ai pris la décision importante de quitter la vie que je connaissais aux Etats-Unis pour étudier de manière approfondie la photographie à Paris en France. Une profonde tristesse, découlant de mon désir de découvrir des environnements inconnus, s’est muée en crise d’identité. Pour garder ma tête hors de l’eau, j’ai donc tenté d’illustrer mon désespoir pour m’attacher à une base quotidienne. Inspirée par les écrits de Susan Sontag, j’ai appelé ces petits rituels quotidiens pour la suivie “une collecte de souvenirs”.
Eileen W. Cho est une photographe Américano - Coréenne de 24 ans basée à Paris. Elle a finalisé ses études avec « Magnum Photo » avec les options documentaire créatif et photo journalisme en 2016 et a depuis été exposée à Magnum Photos Paris et aux Voies-Off à Arles. Sa passion pour la photographie lui est venue dès son plus jeune âge quand elle a eu en main des négatifs capturés sur un Leica M6, mais elle n’a eu son premier appareil qu’en mai 2015. Elle trouve la créativité dans la souffrance et dépend de son appareil pour survivre. Quand elle ne shoot pas pour le plaisir, elle fait le tour du monde pour capturer ce qu’elle voit pendant les « fashion weeks ».
Cette série a été élaborée en août 2015 quand j’ai pris la décision importante de quitter la vie que je connaissais aux Etats-Unis pour étudier de manière approfondie la photographie à Paris en France. Une profonde tristesse, découlant de mon désir de découvrir des environnements inconnus, s’est muée en crise d’identité. Pour garder ma tête hors de l’eau, j’ai donc tenté d’illustrer mon désespoir pour m’attacher à une base quotidienne. Inspirée par les écrits de Susan Sontag, j’ai appelé ces petits rituels quotidiens pour la suivie “une collecte de souvenirs”.
Eileen W. Cho est une photographe Américano - Coréenne de 24 ans basée à Paris. Elle a finalisé ses études avec « Magnum Photo » avec les options documentaire créatif et photo journalisme en 2016 et a depuis été exposée à Magnum Photos Paris et aux Voies-Off à Arles. Sa passion pour la photographie lui est venue dès son plus jeune âge quand elle a eu en main des négatifs capturés sur un Leica M6, mais elle n’a eu son premier appareil qu’en mai 2015. Elle trouve la créativité dans la souffrance et dépend de son appareil pour survivre. Quand elle ne shoot pas pour le plaisir, elle fait le tour du monde pour capturer ce qu’elle voit pendant les « fashion weeks ».